Altered Carbon


 Altered Carbon : 


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"Some people just need killing"

"Certaines personnes méritent de mourir."




     La nouvelle série de Netflix ! Deux ou trois trailer diffusés sur les chaines, une publicité sur la TV d’orange, les recommandations de ma mère, qui sur ce coup-là m’a prise de vitesse et ni une ni deux je me lance.

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   À peine la série mise en ligne, une fois débarrassée de mes obligations terrestres et ennuyeuses, me voici scotchée devant ma télé pour regarder ce cynique personnage qu’est Takashi Kovacs. Mais pour en revenir au début, Altered Carbon qu’est ce que c’est ?
Le trailer diffusé n’est pour moi que très succin et ne laisse pas vraiment le temps de se faire une idée sur l’histoire. Honnêtement, j’ignore si j’aurai regardé la série après avoir simplement vu le trailer, c’est la passion de ma mère devant cette série (dévorée en quelques jours) qui m’a poussé à mon tour à dévorer la série. N’étant toujours pas très doué à l’écriture des résumés je vais essayer de faire court. Mais ne me laissez pas vous gâcher le plaisir de cette belle série !


« It could be characterized more as ‘fuck up’ than ‘backup ‘. »




« J’ignore encore si je dois vous qualifier de bon à rien ou de mauvais à tout. »
(j’aime particulièrement la traduction française de cette citation)





     Altered Carbon est, en premier lieu, un roman écrit par Richard Morgan est et suivi de Broken Angels et Woken Fury.  Prenant place au 26e siècle, l’âme humaine est désormais capable de tenir en une simple pile insérée dans votre nuque, téléchargeable sur le net, sauvegardable et surtout transportable. J’ai trouvé que le concept ressemblait assez à Les Âmes Vagabondes de Stephenie Meyer, mêlé au film Clones de Jonathan Mostow. La série commence lorsque Takeshi Kovacs, un ancien diplo qui s’était battu contre le système de piles près de deux cents ans plus tôt, se réveille dans un nouveau corps. Rapidement emmené par une flic dénommée Ortega, Kovacs voit défiler devant lui le monde qu’il a toujours craint, un monde aux inégalités sociales importantes, où les plus riches (les Maths) peuvent vivre indéfiniment. C’est justement l’un de ces immortels qui l’engage pour résoudre un mystère qui le travaille : son propre meurtre.

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     Dans Altered Carbon il y a différentes morts. La mort où la pile n’est pas touchée, alors l’âme d’un défunt peut être transférée dans une autre enveloppe. Où la vrai mort lorsque la puce  est endommagée dans la mort. Seuls les Maths peuvent survivre à la vraie mort grâce à leur système de sauvegarde à la pointe de la technologie.
La série aux effets spéciaux remarquables introduit un personnage torturé, colérique et violent. Kovacs n’est sûrement pas un saint et encore moins un sentimental. Les nombreux flash-back au cours des épisodes nous présentent son passé, son entraînement et surtout sa torture intérieure.


 

"The true strength of the wolf isn’t fangs, speed, and skill. 

It’s the pack"



“La vraie force du loup, ce n’est pas les crocs la vitesse ou les griffes. 

C’est la meute."

  

 

     J’ai grandement apprécié la série. L’histoire est trépidante quoique un peu dure à suivre, les effets sont top et le casting super. Pourtant je ne pense pas que ce soit la série de l’année. C’est bien, voilà tout. L’histoire est parfois longue, des scènes sont surjouées et à mon sens parfois inutile, il est bien de vouloir caractériser un personnage, mais cela tombe parfois comme un cheveu sur la soupe. Mais surtout les derniers épisodes m’ont un peu déçu. Pour reprendre les termes de ma mère «  ça se barre en couille ! » (Inutile de vous dire d’où je tiens mon vocabulaire !).
      Je ne peux qu’acquiescer. Des slows motion avec une musique de badass, des pirouettes, des longs dialogues sentimentaux et une révélation-choc d’un psychopathe en mal d’amour. Un tournant flagrant pour la série. J’ai surtout trouvé le comportement du personnage principal en totale contradiction avec celui que l’on nous présente dans les premiers épisodes. 




“How do you decide who deserves to die?
- Depends on the day. I mean, anything can set me off. Interstellar dictatorship, genocide, people who talk too much.

 



" Comment décidez-vous qui doit vivre ou mourir ?
—  Ça dépend des jours, un rien peut me faire péter les plombs. Les dictatures interstellaires, les génocides, les gens qui parlent trop. "



Mais malgré ces derniers points Altred Carbon reste une série science-fiction agréable à regarder, une histoire qui m’a beaucoup plus dans un univers de décadence extrême. Ce n’est probablement pas LA série à voir le plus vite possible, mais s’il se trouvait que vous cherchiez à vous changer les idées, ces dix épisodes pourraient bien être votre salut !

Pour ma part, je me suis lancée dans la lecture des livres et je reviendrai rapidement faire une comparaison.

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